Le café de spécialité est un univers de passionnés. Et de plus en plus d’acteurs s’engagent au quotidien pour faire découvrir au plus grand nombre des cafés hors du commun, d’une qualité incomparable, mais également éthique et écologique. C’est le cas de Fève Coffee, une nouvelle torréfaction orientée vers l’humain.

Une rencontre, une histoire : la création de Fève

L’histoire de Fève commence avec l’histoire de Fève Épice. En 2019, Ivan Carel et Paul Belgram, alors partenaires au sein d’une agence de création de contenu, tous deux grands amateurs de café se rendent chaque jour chez Chouette Café, à Saint-Germain-en-Laye. C’est là qu’ils rencontrent Jonathan Le Pautremat, un ancien chocolatier qui torréfiait lui-même son café chez Chouette Café. Tous les trois passionnés, ils décident de se lancer dans un projet fou : faire du café aromatisé naturellement en associant les cafés avec les épices de leurs terroirs. Très vite, ils participent au Paris Coffee Festival et rencontrent un succès immédiat, signe que leur concept plaît. C’est le début de l’aventure Fève.

C’est alors qu’ils sollicitent Didier Chevalot, un consultant en stratégie café pointu, pour les accompagner lors des championnats de France de torréfaction (Jonathan Le Pautremat finira 4^ème).

Avec la création officielle de Fève, une gamme de café de spécialité pure origine à proposer aux professionnels de la restauration (restaurants, coffee shops, pâtisseries…), Didier rentre dans l’aventure.

Durant plusieurs mois, les quatre hommes rassemblés par une passion commune réfléchissent à ce qu’ils aimeraient que Fève devienne. L’orientation qu’ils vont lui donner résonne finalement comme une évidence : remettre sur le devant de la scène toutes celles et ceux qui se cachent derrière une bonne tasse de café de spécialité, les productrices et producteurs mais aussi leur parcours et leur histoire, dans le but d’éveiller les consciences et d’inciter le client à réfléchir sur ce qu’il consomme.

« Nous avons choisi le nom de Fève en partant de l’idée qu’une fève de café, cet objet à la fois si simple et unique, vit énormément de transformation avant d’arriver dans une tasse. Ce nom « Fève » traduit notre volonté de mettre en avant ce qui se cache derrière la fève : toute l’histoire et le travail des femmes et des hommes qui la travaillent. » Paul Belgram, co-fondateur de Fève.

Fève : un engagement fort pour un café durable

En accord avec sa volonté de mettre en avant les femmes et les hommes derrière le café, l’équipe de Fève s’engage à rendre le café qu’elle propose le plus éthique possible. Comment ? Par des actions concrètes, qui ont du sens.

Une torréfaction sur-mesure

Chacun de leurs cafés est sélectionné avec minutie, en accord avec le rythme des saisons, puis torréfié sur-mesure pour sublimer la fève.

Informer les consommateurs

Quoi de mieux pour inciter les personnes à mieux consommer que de mieux les informer ? Chez Fève, tout est raconté et en toute transparence : de l’histoire des productrices et producteurs, au pays d’origine du café, il n’y a pas de secret !

Former les clients

Avoir la connaissance nécessaire pour faire et/ou proposer du bon café en tant que professionnel de la restauration n’est pas inné, cela s’apprend. Les équipes de Fève l’ont bien compris. Et c’est pour cette raison qu’elles ont décidé de miser sur la pédagogie. Lorsqu’un client « n’y connaît rien en café de spécialité », mais a envie de s’investir, Fève est là pour l’accompagner.

Mieux rémunérer les producteurs

Toujours en cohérence avec sa vision, Fève s’investit dans des projets humains. Récemment, l’équipe a soutenu certaines fermes du Burundi qui emploient des femmes et luttent ainsi en faveur de leurs droits, en réduisant sa marge afin de mieux rémunérer les productrices et les producteurs de café.

Développer son engagement écologique

L’engagement de Fève va plus loin encore : en utilisant des étiquettes biosourcées, biodégradables et vegan pour ses emballages 100 % recyclables par exemple.

Fève Coffee et Brémart Coffee Machine : une même vision, une même passion

Le partenariat entre Brémart Coffee Machine et Fève a lui aussi démarré par une rencontre : entre Georges Simonet, la force commerciale de Brémart et Didier, (puis avec le reste de l’équipe de Fève par la suite).

« Nous partageons tous la même passion du café et la même vision de ce que doit être un service client de qualité dans l’univers du café de spécialité. » raconte Paul.

Que ce soit chez Brémart ou chez Fève, on sait que pour faire un bon café, il faut bien entendu du bon café… mais aussi une bonne machine ! Un barista passe d’ailleurs la majorité de son temps derrière sa machine à café. Il est donc essentiel pour lui d’être bien équipé.

Toute l’équipe de Fève est convaincue par la qualité des machines proposées par Brémart, toutes testées et analysées par des experts du café. Fève apprécie également le sens du service des équipes de Brémart, leur réactivité et la proximité mise en avant dans les relations avec leurs clients.

Chez Brémart, comme chez Fève, les équipes offrent aux clients une tranquillité d’esprit et une solution concrète à leurs problématiques de tous les jours. En résumé : placer l’humain au cœur de chaque relation avec un client et être là pour lui, quand il en a besoin.

Chez Brémart Coffee Machine, les clients on en prend soin et on s’en occupe au quotidien. Oui mais voilà, pour offrir une telle qualité de service, il faut des personnes investies et impliquées et… qui s’y connaissent (un peu) en café ! Nous vous proposons aujourd’hui de découvrir le portrait de Georges Simonet, ingénieur commercial chez Brémart.

Le café… Comme tombé dedans quand il était petit

Georges et le café c’est une histoire qui a commencé dès son plus jeune âge quand sa mère et sa grand-mère lisaient l’avenir dans le marc de café. Et pourtant, elles n’avaient pas prévu que la future carrière de Georges tournerait autour de ce précieux breuvage.

À l’origine, Georges avait prévu de se lancer dans l’univers automobile après avoir fait des études techniques. Mais le sort en a décidé autrement quand un ami de sa sœur lui propose de venir passer une semaine dans son entreprise pour réparer… des machines à café !

Et là, c’est LA révélation pour Georges : travailler dans l’univers du café, c’est ce qu’il veut faire, il n’en a aucun doute.

Il grimpe alors les échelons au fil de sa carrière, en évoluant au sein de plusieurs structures : d’aide électromécanicien sur les machines à café, il devient technicien, puis chef de projet et enfin ingénieur commercial. Le café… C’est sa passion. Alors forcément, plus il évolue dans son élément naturel, et puis il gagne en expérience.

À la question « Qu’est-ce qui te plaît le plus dans cet univers du café ? » Georges répond sans hésitation « la convivialité ». Travailler en collaboration avec des restaurateurs ou des gérants de brasserie est un bonheur qu’il partage chaque jour avec ses clients.

Le café le passionne tellement qu’il décide de devenir juge certifié pour les championnats de France de barista. Il parvient même à révolutionner la façon de noter les candidats, en arrêtant de faire de longues phrases sur la prestation du barista, ce qui est très chronophage et ne permet pas de profiter au maximum de la démonstration du candidat et en adoptant un système de notation schématique qui permet d’évaluer les candidats sur de nombreux critères (aisance, prestance, précision des gestes…) en un temps record.

Georges et Brémart : une belle histoire

Georges Simonet a été l’un des premiers techniciens en France à travailler sur des machines La Marzocco. Dès qu’il a découvert la marque, cela a été un véritable coup de foudre et il a alors acquis une très belle expertise sur ces machines. Lorsqu’il a rejoint les équipes de Brémart en 2016, c’est donc tout naturellement qu’il a fait référencer La Marzocco. Et Brémart l’en remercie !

Depuis son arrivée, Georges apporte 3 éléments phares à Brémart : la compétence technique, l’accompagnement commercial et sa passion pour le café. Focus.

Aujourd’hui il est ingénieur commercial chez Brémart. À ce titre, il gère les référencements autour du café, développe son réseau et aide le dirigeant Fabrice Breviglieri et la directrice commerciale Chantal Trenquier à définir la stratégie de développement des deux marques du groupe : Brémart Grande Cuisine et Brémart Coffee Machine.

C’est également lui qui forme tous les commerciaux de l’entreprise afin que chacun d’entre eux soit en mesure d’accompagner les clients des deux marques phares de Brémart.

Au-delà d’être un atout « commercial » pour Brémart, une expérience et un métier qu’il a appris au fur et à mesure de sa carrière avec des « grands » du secteur, Georges est surtout LE connaisseur en café de la société. Et quand il commence à en parler… Difficile de l’arrêter tant il en connaît sur le sujet.

Demandez-lui de vous expliquer la différence entre un café « conventionnel » et un café de spécialité devant un Modbar… Vous allez très vite devenir bien plus exigeant sur les prochains cafés que vous boirez.

Si vous êtes amateur de « bonnes tables », vous connaissez déjà certainement Charles Compagnon, le restaurateur. Mais avez-vous déjà entendu parler de Charles Compagnon le sommelier et Charles Compagnon le torréfacteur ? Brémart Coffee Machine vous en dit plus sur ses multiples talents.

Un parcours riche en expériences culinaires

C’est à 15 ans que Charles Compagnon entre à l’école hôtelière de Paris. Après plusieurs stages en cuisine et en salle, il devient chef de rang au restaurant Paradis de Madrid. Il intègre ensuite Le Georges (appartenant aux Costes), puis l’hôtel Costes. À 26 ans, il ouvre son premier restaurant, c’est là qu’il découvre à quel point il aime la gestion d’entreprise.

8 mois plus tard, il décide de faire une pause dans la gestion entrepreneuriale pour renforcer sa formation culinaire. De Paris à New-York, il finit par travailler au sein de la James Beard Foundation, une fondation qui a pour mission de promouvoir la culture de la gastronomie aux États-Unis. C’est à travers cette expérience qu’il prend réellement conscience de l’importance de proposer les bons vins pour accorder ses mets. Il décide alors de suivre une formation au Court of Master Sommeliers et devient sommelier.

Et pour aller plus loin, Charles a lancé son propre vin nature : un petit domaine de beaujolais dont il vend même quelques bouteilles dans son dernier restaurant…

Charles Compagnon : de la restauration à la torréfaction

Charles Compagnon a un objectif : proposer de bons restaurants où l’on sert des plats de qualité cuisinés par des chefs reconnus. Mais aussi et surtout, créer des lieux de vie, ouverts 7 jours sur 7, de 8h00 à minuit pour que tout le monde puisse venir s’attabler pour n’importe quelle occasion : un petit-déjeuner, un brunch, un déjeuner d’affaires ou encore un dîner entre amis…

Ce concept, il le décline à travers ses trois adresses : Le Richer, situé 2 rue Richer dans le 9^ème arrondissement de Paris, le 52, au 52 Faubourg Saint-Denis, dans le 10^ème arrondissement. Et enfin, le petit dernier : Café Compagnon !

Parce qu’après Charles le restaurateur, Charles le sommelier, nous vous présentons : Charles le torréfacteur. Adepte du « Do it yourself » (Fais tout toi-même), Charles Compagnon a appris à torréfier le café lui-même et a créé sa propre marque de café. Chez Café Compagnon, nouveau concept de Restauration-Torréfaction, les clients peuvent venir déguster les cafés torréfiés maison de Charles.

Café Compagnon, c’est un bel espace situé au cœur de Paris dans le 2^ème arrondissement, qui peut accueillir jusqu’à 100 couverts et qui devient la seule adresse du restaurateur où l’on peut réserver une table à l’avance.

Charles Compagnon et Brémart Coffee Machine : la rencontre

Charles a fait appel à Brémart pour la conception et l’installation des cuisines dans ses restaurants. Le torréfacteur est également équipé d’une machine La Marzocco Linea PB X que Brémart Coffee Machine lui a fourni.

En bref, le groupe Brémart et fier et reconnaissant d’accompagner Charles Compagnon dans ses différents projets culinaires.

Si vous aimez la gastronomie, vous avez très certainement déjà entendu parler de Julien Sebbag, ce jeune chef d’à peine 30 ans qui s’attendait à tout… Sauf à devenir cuisinier ! Étudiant en école de commerce et diplômé d’un master en entrepreneuriat, c’est finalement en s’installant à Londres puis à Tel Aviv que Julien se découvre une passion pour la cuisine. Et c’est là que son histoire commence…

Un parcours déjà riche en accomplissements

Julien Sebbag débute sa formation chez Miznon, dans le 4^ème arrondissement de Paris avant de devenir chef à domicile. Il ouvre « Je cuisine chez toi » et propose de se déplacer chez ses clients pour cuisiner devant eux et « entrer dans leur intimité, pour que quelque chose se passe entre eux et lui », comme il aime à le préciser.

De « chez toi » à « chez moi » il n’y a finalement qu’un pas. Suite au succès de Je cuisine chez toi, Julien Sebbag ouvre « Chez oim » à l’étage du Bus Palladium. Un autre concept original puisque le restaurant n’est ouvert que le mardi soir, assorti d’un slogan qui en dit long sur la personnalité du chef : « Après de nombreux dîners chez toi, j’ai enfin l’honneur de te recevoir Chez Oim. »

Toujours en quête de sincérité et de partage, Julien développe une cuisine authentique, originale et éco-responsable. Sa cuisine plaît et ses perspectives se multiplient.

Aujourd’hui, ce chef autodidacte et débordant d’idées est déjà à la tête de 3 restaurants parisiens :

• Tortuga et Créatures, deux espaces placés sur le roof-top des Galeries Lafayette dont le premier propose une cuisine axée principalement sur le poisson, et le second une cuisine 100 % végétarienne ;
• Forest, situé au Musée d’Art Moderne qui place le végétal au cœur de l’assiette.

Julien a également reçu le prix « Jeune Talent » décerné par le Gault & Millau 2022 pour son engagement chez Forest.

Julien Sebbag et Brémart Coffee Machine : la rencontre

Vous faire ressentir tout un mélange d’émotions, découvrir de nouvelles saveurs et voyager, sans vous bousculer, ni tout bouleverser… Voilà l’objectif que s’est fixé Julien Sebbag lorsque vous entrez dans l’un de ses restaurants. Et pour vous offrir une expérience culinaire comme nulle part ailleurs, de l’entrée jusqu’au café, ce dernier a fait équiper les restaurants dans lesquels il évolue de machines à café La Marzocco que Brémart lui fournit…

Brémart Coffee Machine a également eu l’honneur de recevoir Julien Sebbag sur son stand lors du Paris Café Festival. L’occasion pour le chef de cuisiner en direct des plats à base de café, à l’image de l’un des plats fétiches qu’il propose chez Tortuga : les gambas à la plancha nappée d’une sauce à l’huile de sésame et au tamari, accompagnées de quelques noix de cajou, de l’oignon cebette et d’un crumble de café. (NDLR : Quand est-ce qu’on y va ?)

Pour nous prouver qu’il tient à nous, Julien a même accepté de répondre à quelques questions exclusives dans cet article ! Alors, Julien… Racontez-nous…

• Selon vous, qu’est-ce qu’un « bon café » ?

Un bon café c’est un café qui a été sourcé et réalisé par des passionnés avec le matériel adéquat.

C’est aussi un café qui révolutionne les papilles des clients, habitués depuis de nombreuses années à des cafés devenus longilignes, sans relief. C’est un café qui se montre à la fois complexe, doux et réconfortant.

J’aime quand parfois les clients font la grimace à la dégustation, c’est qu’ils redécouvrent toute la complexité du café… Et cela demande un léger temps d’adaptation…

• Quelles sont les meilleures associations et/ou les associations les plus originales à faire avec le café ?

Personnellement, j’adore l’association café et fruits de mer, à l’image du plat que j’ai réalisé sur le stand de Brémart à l’occasion du Paris Café Festival : une recette de gambas snackées à la plancha accompagnées d’un crumble café.

En ce moment, nous proposons également à la carte de chez Forest une purée de panais au café. L’acidité du café s’accorde parfaitement à la rondeur du panais, c’est vraiment une association très intéressante.

Enfin, côté dessert, je travaille souvent le café avec la poire.

• Qu’appréciez-vous dans votre collaboration avec Brémart ?

Ce que j’adore avec Brémart, c’est que les échanges qu’on a avec l’équipe sont humains. On travaille en collaboration avec des personnes investies, impliquées, qui savent se mettre à notre place. Ce sont de vrais professionnels, ils comprennent nos enjeux au quotidien et ils en tiennent compte dans l’accompagnement qu’ils proposent.

• Une nouveauté à partager avec nos lecteurs ?

Bien sûr ! Nous sommes en train de relancer le concept de Je cuisine chez toi avec une équipe spéciale, dans le cadre d’événements privés mais aussi professionnels ! On a hâte de retourner chez vous !